Les années 1990

1990

Adhésion à « PREMIÈRE SÉANCE », avec une première projection de films plus particulièrement destinés aux scolaires. Cinq films par an, avec un choix des films établis par des professionnels (Education Nationale et C.N.C.). Cette animation culturelle est devenue par la suite « ECOLE ET CINÉMA ».

L’AEP et le cinéma rachètent le bâtiment à l’O.G.E.C (Organisme de Gestion des Ecoles Privées).


1991

Nouvelles et importantes modifications : installation de la nouvelle technologie sonore Dolby stéréo, technique qui a nécessité l’ajout de 8 enceintes en salle et de 3 derrière l’écran. Remplacement de l’écran et changement de chauffage.

Le 14 août : « Nuit de l’épouvante »


1993

Organisation pour la deuxième fois à Saint Laurent du Pont, du Congrès Annuel des Cinémas Familiaux de la Région Centre Est. (C.I.F.A.C.E.) qui soulève la concurrence de plus en plus dangereuse de la télévision face au cinéma.


1994

Remplacement du dérouleur à plateaux par un dérouleur 1 DEF (2 roues verticales de 3000 mètres de films), qui équipe maintenant la majorité des salles en raison de sa polyvalence. Il permet d’échanger la bobine avec la salle suivante sans avoir à démonter le film.


1995

Le cinéma LE FOYER tourne au rythme de 3 séances par semaine grâce à une équipe d’une vingtaine de bénévoles.

Fin avril 1995 : 100 ans de l’invention du cinéma avec l’organisation d’une exposition et des projections de films anciens.

Cette année sera aussi marquée par le décès de Joseph BRUN, bénévole au cinéma.

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1997

Séance sous les étoiles au stade Charles BOURSIER avec la projection du film « LA VERITE SI JE MENS ». Séance transformée en séance sous la pluie, qu’une poignée d’irréductibles a suivi jusqu’à la dernière image…

Pour célébrer les 70 ans du cinéma Le Foyer, on organise des jeux, une exposition et des projections variées. Des invitations gratuites ont été offerte à toutes les personnes natives de 1927. Visite de la cabine de projection.


1998

Lors du passage de « L’homme est une femme comme les autres », une plainte a été déposée par une spectatrice pour motif : « Affiche indécente, dégradante et pornographique, inadmissible. A faire supprimer ». Cette affaire n’a pas eu de suite.

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